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Planète Nouvelles
29 mai 2021

Code QR

Code QR

Temps de lecture: 20/30 minutes.

 

 

 

 

 

 

 

« Désolé madame , ça ne va pas être possible. Votre dossier médical n'est pas à jour. »

Amélie Révolté, échevelée par sa poursuite à bicyclette du convoi funéraire, venait de se faire refuser l'accès au cimetière où sa grand-mère allait être inhumée.

Le vigile, d'allure mastoque et un tantinet benêt qui lui barrait l'accès, tenait comme une arme de poing le lecteur de code QR, nouveau sésame de nos vies artificielles.

« dossier médical incomplet »

Sur l'écran s'affichait cette fumeuse sentence : « dossier médical incomplet » .

Amélie n'en revenait pas.

Sa grand mêre adorée, celle qui lui avait appris le scrabble, la cuisine à l'huile d'olive et le goût des fruits du jardin, sa « chère petite mamie » serait portée en terre sans qu'elle puisse assister à la cérémonie, sans qu'elle pose un regard, un baiser, une main ou un bouquet de roses blanches sur son cercueil de bois clair.

Et tout ça parce qu'un lecteur de code QR en plastique noir et chinois, brandit par un écervelé aussi mou que patibulaire, lui interdisait l'accès au cimetière nord de la ville.

Pas croyable comme l'intelligence artificielle alliée à la bêtise sur-naturelle pouvait produire la pire des barbaries.

 Affolée, honteuse, désemparée, rouge de colère retenue, Amélie cherchait autour d'elle le secours, d'un regard, d'une parole, d'une explication.

C'est alors qu'elle aperçut près d'un banc, un trio de femmes qu'elle avait souvent vues chez Chantal, sa grand-mère, à l'heure du thé et des jeux de lettres.

Pourquoi n'étaient-elle pas déjà à l'intérieur du cimetière ?

Comme elle s'approchait du trio, l'une des femmes reconnut Amélie, surprise de la voir en larmes accrochée à son clou d'où le bouquet de roses blanches commençait à flancher tristement.

 

Elle apprit rapidement que l'une des trois amies ayant oublié son portable, elle non plus ne pouvait pas justifier, via son QRC, de son bon état sanitaire.

Toutes trois avaient plus de 75 ans. Toutes avaient leur dossier médical à jour, mais sans la preuve par QR, l'entrée leur était également interdite.

Cerbère veillait au code.

Amélie leur confia son désarroi, elles ne surent que la calmer en lui assurant qu'elles reviendraient avec elle plus tard, de nuit s'il le fallait, quand le chien de garde serait parti.

Les larmes plein les joues, serrant dans sa poche à en extraire les mots le texte qu'elle comptait lire comme oraison, Amélie enfourcha sa bécane et vint se planter devant le mulet pour lui lancer au museau une bordée d'injures et de venin.

Impassible, sans émotion, il détourna le regard d'indifférence et s'abstint de faire des phrases, ça n'était pas son truc.

Plusieurs mois auparavant, le gouvernement avait après moultes cafouillages, réussi à imposer une application sensée améliorer à la fois la vie, la santé, la sécurité...le bonheur ? d'un peuple qu'il était en quelques semaines seulement, parvenu à effrayer au plus haut niveau.

Malgré un démarrage difficile mais gràce à une propagande largement relayée par la médiasphère avide de reconnaissance de l'État ou de ses actionnaires, la fameuse application était devenue le meilleur outil de contrôle social soit-disant au service d'une épidémie dont tout le monde finissait par avoir une trouille noire.

 

Amélie resterait privée de la cérémonie d'adieux à sa grand-mère adorée car son dossier médical était incomplet.

Derrrière cette formule anodine, elle savait bien qu'elle subissait la punition pour son refus de se soumettre à une vaccination « facultative » contre cette maladie nouvelle, la même qui avait eu raison des faibles poumons de Chantal.

Chantal à 87 ans, avait survécu à plusieurs pneumonies dont elle était sortie chaque fois un peu plus affaiblie. Alors que la maladie faisait des ravages parmi les octogénaires, elle avait été la première de son quartier à bénéficier de cette vaccination expérimentale, seule solution selon les autorités, selon les propagandistes, selon les citoyens épuisés et perdus par plus de 10 mois de contraintes physiques, psychiques, économiques, désocialisantes et déshumanisantes.

Seule solution contre la propagation du virus, mais aussi contre l'évidence. L'évidence du succès dévoilé dans des centaines d'études, d'essais et d'observations cliniques qui montraient que plusieurs protocoles de soins préventifs et de prises en charges précoces permettaient de limiter drastiquement l'évolution vers des formes graves et létales de cette maladie.

Chantal ne le savait pas et avait choisi très tôt la solution vaccinale par l'une des thérapies géniques développée à la hâte, en quelque mois seulement et bénéficiant sur la base de bien faibles résultats d'une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.

 

En effet, derrière la bataille des chiffres crachotés dix fois par jour par les médias et leurs experts ...en corruption masquée... se cachait une toute autre réalité.

Vaccinée, rassurée, libérée des contraintes distancielles qui lui minaient désormais le moral, Chantal commençait à recevoir plus souvent ses proches, ses amis. Elle sortait chaque jour plusieurs heures, prétextant un achat indispensable, un rendez-vous incontournable, un service à rendre, une visite importante.

Pourtant, le matin du 12 avril, 8 jours après sa seconde injection, le thé à l'orange avait perdu son goût, le parfum du lait de toilette ne lui parvenait plus.

Sachant que ces symptômes étaient souvent révélateurs de la maladie, oubliant même qu'elle était protégée par 2 injections, la première reçue 2 mois plus tôt, elle appela le secrétariat du docteur T, dès 8h30. La secrétaire la rassura, lui rappelant qu'elle était « vaccinée et ne risquait plus rien » ; elle ajouta que le docteur la rapellerait dès que possible.

C'est seulement le surlendemain qu'il rappela la vieille dame pour une consultation téléphonique éclair. Contre la fièvre, il lui prescrit le fameux paracétamol, qui de l'avis de tous les experts ayant l'oreille du ministère, était le seul remède utile. Il ajouta qu'elle devait éviter de sortir et de recevoir, qu'il passerait la voir en fin de semaine, qu'il était inutile de faire un test puisque le vaccin la protégeait.

 

À demi rassurée, la vieille dame se recoucha quelques heures, le temps que le cachet agisse sur sa légère fièvre. À son réveil, elle fit le tour la maison pour ouvrir à moitié tous les volets, puis le tour des placards, du cellier et de la pharmacie pour recenser l'état des stocks de nourriture et de médecine.

Elle était du genre qui se souvenait de la guerre, Chantal. Les réserves avérées permettaient la tenue d'un siège de 5 semaines, pas de quoi paniquer.

C'est donc dans une longue période d'un somnolent enfermement qu'elle couva fébrilement

la maladie.

Malgré la persistance de la perte du goût et de l'odorat, elle se persuada que ça ne pouvait-être La Maladie, puisqu'elle était protégée. Le médecin le lui confirma lors de sa visite du vendredi. Tout de même, il ajouta un sirop contre la toux qui commençait à faire du vilain dans sa trachée. La factrice lui livra le remède seulement le lundi, alors que les quintes se multipliaient et duraient de longues et épuisantes minutes.

Cela faisait une semaine que Chantal ne sentait plus la camomille et le jasmin de ses bougies préférées.

La toux s'était calmée. Sur les conseils du doc, elle buvait beaucoup d'eau sans y prendre goût, elle ne s'exposait pas aux courant d'air non plus.

La gêne respiratoire s'accentuait de jour en jour, ses jambes ne la portaient jamais plus loin que d'une pièce à l'autre, d'un fauteuil de velours à une chaise en paille.

Le matin du quinzième jour, c'est Amélie qui la trouva à demi-morte, engoncée dans ses draps, sous l'édredon qu'elle avait ressorti pour lutter contre ce gel qui lui glaçait les os. Elle claquait des dents, respirant faiblement, péniblement.

Quand le Samu la prit en charge, c'est à dire après le 3 ème appel de sa petite fille, Chantal était plus pâle que ses draps, elle ne tenait ni debout ni assise.

Les yeux mi-clos, elle parlait par monosyllabes.

Le pouls était à 45 et l'oxymètre indiquait en continu une saturation à 90%. Elle s'asphyxiait tranquillement derrière les persiennes fermées de sa maison pointue, modèle 1934, son année de naissance.

 

Le matin de ses obsèques, le chroniqueur radiophonique le plus entendu du pays, ne tarissait d'éloges sur les bienfaits de cette modernité permettant d'un seul flash de consulter vos données personnelles ; celles attestant de votre état sanitaire, du niveau de sécurité que vous avez atteint. Ce perroquet médiatique, comme ses collègues faisant la retape pour des vaccins miracles, déversait convaincu, depuis plus d'un an déjà , des avis autorisés, appuyés sur une science officielle jamais remise en question.

Et gare à tous ceux qui s'avisaient à émettre le moindre doute, la plus prudente hésitation ; on les affligeait aussitôt de cette nouvelle étoile jaune du déshonneur, de « vilains complotistes » !

Amélie Révolté, de rage, de colère et d'une force puisée au tréfond de son intime puissance de vie, enfoucha sa bécane pour s'élancer à la recherche d'un passage, d'une faille, d'un moyen de franchir le mur carcéral du cimétière.

Il y avait bien deux autres portes, l'une à l'Ouest, l'autre à l'Est, mais elle constata vite qu'une caméra de surveillance les surmontait. Elle se souvint alors avoir aperçu des écrans de contrôle dans la guérite du molosse gardant la porte principale.

Quant au mur, haut de plus de 4 m, il lui paraissait infranchissable.

Le tour rapide du cimetière la ramena naturellement au petit banc où les 3 amies désemparées se tenaient toujours assises, attendant la sortie du cortège pour tenter de s'y infiltrer à rebours.

La jeune femme leur proposa alors le coup de la diversion. Si l'une d'elles feignait le malaise et venait à chuter juste devant son mirador, il serait bien obligé de lui porter assistance puis d'appeler les secours. Amélie en profiterait pour se faufiler à l'intérieur et rejoindre la cérémonie qu'un dictact idiot et méchant lui interdisait de suivre.

La malice au coin des yeux les 3 femmes quittèrent leur position en bavardant. Au bout de vingt pas, presque sur les pompes du funèbre vigile, Marie-Claire s'effondra brusquement, les yeux révulsés, les pattes tordues, un filet de bave aux commissures.

Son passé de comédienne amatrice lui permit de simuler l'attaque cardiaque à merveille. Cerbère en eût la tronche toute retournée. C'est penaud, les bras balants, qu'il déposa un genou en terre pour se pencher sur la faible respiration de la tragédienne à l'agonie.

Son auscultation désordonnée laissa bien le temps nécessaire à Amélie pour se faufiler en loucedé dans les contre-allées du boulevard des allongés.

Dix jours seulement après cet épisode de l'absurde, tout était prêt.

Amélie n'avait plus qu'à abaisser l'index sur le bouton gauche du mulot périphérique pour envoyer à la face du monde connecté ce qu'elle avait intitulé le « nouveau j'accuse ».

Il lui avait fallu 10 jours pour lire, écouter et synthétiser en une seule page tapuscrite toute l'absurdité, et l'inconséquence d'un pouvoir politique corrompu, dont la seule boussole n'indiquait plus que le Nord Kapitalistique.

 

L'index fébrile de la jeune femme tendue caressait inquisiteur le bouton lisse et plastique de la souris connectée.

Elle savait que le déclic serait à l'origine ou d'un flop, vent de mépris ne donnant lieu à aucun commentaire, ou bien d'une tempête médiatico-politique qui l'entrainerait sans ménagement dans un tourbillon judiciaire d'où elle ne ressortirait pas indemne.

Au bout de l'index, elle sentait vibrer la multitude tumulteuse des rézosocios qu'elle avait alignés dans la case destinataires.

Sous la pulpe sensible, l'ensemble des partis politiques français et européens, l'ensemble des parlementaires de Paris et Bruxelles, tous les syndicats, tous les médias nationaux, la PQR et la plupart des médias en ligne. D'un clic elle toucherait également toutes les institutions médicales, les CHU, les sociétés savantes, les journaux médicaux, les centres de recherche, les universités de sciences dures, de sciences humaines, de droit , d'économie, de politique, les grandes écoles, les écoles vétérinaires, tous les laboratoires de recherche...tous les ministères...

D'un seul geste, elle informerait aussi les associations d'intérêt général, les principales fondations, les associations de parents d'élèves, les syndicats ouvriers et patronaux...

d'un souffle elle lancerait son accusation à la face du monde, aux éditeurs, aux chroniqueurs, aux avocats, aux savants et aux ignorants.

 

Des dizaines de milliers de morts en trop. Encore des dizaines de milliers à sauver, et l'honneur de l'humanité toute entière à sortir des mâchoires dorées de l'argent roi.

Lorsqu'elle eût quitté le cimetière après un dernier hommage à sa grand-mère, Amélie était rentrée directement chez-elle et n'en était plus ressortie que pour de furtifs ravitaillements à l'épicerie-bar du coin de la place Émile Zola.

De 15 à 20 heures par jour, elle explorait tous le sites internet que la médiasphère mainstrean étiquettait consciencieusement de complotiste.

C'était vraiment le mot le plus in-signifiant de l'instant. Le moinde doute sur l'utilité, la pertinence ou la cohérence des mesures sociales, des restrictions massives de liberté, des prescriptions minimalistes officielles, la plus petite remise en question de la science adoubée, suffisait à classer n'importe qui du côté obscur de la farce.

Gare à celui qui s'avisait à annoncer que l'Ivermectine ou l'Hydroxychloroquine soignaient les malades et diminuaient les risques de mortalité : complotistes et charlatans !, par-delà leur CV longs comme le bras.

Sus aux renégats qui trouvaient que la vaccination massive avec des produits expérimentaux -ne bénéficiant que d'une autorisation de mise sur le marché conditionnelle- était abusivement promue et vantée ; complotistes et affabulateurs !

Mort à ceux qui comparaient le nombre considérable d'effets indésirables graves, parmi lesquels des centaines de morts inexpliquées, causés par les vaccins ; complotistes et menteurs !

Honte à ceux qui en dépit de leurs compétences médicales et de leurs parcours pavé d'honneurs osaient afficher une vérité alternative à celle du pouvoir ; complotistes et gâteux !

Durant ces dix jours d'exploration, Amélie avait lu tous les blogs, tous les entretiens, les rapports et les synthèses qui tissaient un réseau serré de preuves issues de tous les continents, concernant l'intérêt et l'efficacité de la prise en charge précoce des patients Covid. Elle avait pris connaissance des collectifs de soignants qui se regroupaient par centaines désormais, pour demander la liberté de prescrire, qui agissaient en justice contre des décisions politiques prises en toute illégalité par des autorités sanitaires à la botte de BigPharma.

Un site d'information en particulier était devenu le principal relais de cette résistance, renouant avec son origine née de la résistance à l'état fasciste incarné par le bon maréchal Pétain.

À lui seul, ce journal en ligne collectait une énorme part des analyses dissonantes, ce qui lui valait d'être qualifié de « blog complotiste » par les baveux bien-pensants, financés eux, par les milliardaires du pays.

Amélie trouvait chaque jour plus d'éléments pour éclairer la mort inexplicable de sa grand-mère.

Elle savait maintenant que la vaccination ne démontrait qu'une efficacité relative, loin, très loin des 95% vantés à longueur de flash info.

Elle savait que les vaccins avaient été mis sur le marché sans montrer de résultats probants sur la mortalité, ni sur la réduction des formes graves ; qu'ils n'avaient pas été testéssur les plus de 75 ans, ni les moins de 16 ans ou les immunodéprimés ; et aussi qu'ils étaient en phase 3 d'un essai grandeur nature dont les résultats ne seraient connus qu'en 2022 et 2023.

L'humanité vivait un GN pour de vrai !

Elle savait que la semaine suivant l'injection les risques de contracter la maladie étaient accrus.

Elle savait que la consigne officielle de rester à la maison avec du paracétamol était parfois criminelle. Elle savait que l'hypoxie heureuse portait bien son nom et cachait une tueuse impitoyable.

Elle savait tout cela et en voulait à la Terre entière de savoir et de se taire, de savoir et de faire taire.

Elle savait surtout que ne pas reconnaître les traitements précoces par des molécules anciennes repositionnées était la condition nécessaire à l'autorisation conditionnelle des vaccins.

Big Pharma allait gagner. La corruption serait la plus forte si personne ne s'interposait.

D'un clic, elle allumerait la mèche. Mèche courte ça va sans dire.

 

 

Le Nouveau J'acccuse

 

« Il est grand temps d'arrêter les pétitions, d'arrêter de lancer des appels dans le vide intersidéral des neurones de nos dirigeants sous emprise totale des firmes multinationales. Il est temps, mais peut-être un peu tard, de mettre un coup d'arrêt à la dictature en marche qui s'annonce d'un noir d'encre si nous ne relevons pas le poing.

Il est temps d'écrire un nouveau "J'accuse".

On peut toujours poser des questions sans être inculpé pour diffamation...mais devant l'accumulation de preuves nous devons passer à l'accusation.

Alors j'allume la première mèche, tous aux abris !

J'accuse, les présidents, les chanceliers, les premiers ministres, les rois et les reines, les dictateurs et les pseudo-démocrates, l'EMA, l'ANSM, le HSCP, les ministres de la Santé, les dirigeants des industries pharmaceutiques impliquées dans la vaccination, les revues scientifiques dites "prestigieuses", les autorités sanitaires des pays les plus riches, les médecins et les professeurs de médecine corrompus, les élus de la nation, la plupart des journalistes et des entreprises de média audio, papier et télé...

J'accuse l'ignorance volontaire des soignants, les faiseurs de peur, les manipulateurs de chiffres erronés, l'Inserm, l'Institut Pasteur, le Conseil d'État...

...d'avoir sciemment laissé mourir des milliers de personnes en répétant contre toutes les preuves scientifiques connues et diffusées en temps réél, qu'il n'y avait pas de traitement efficace contre le Covid 19 et que la seule solution était de vacciner toute la population avec une thérapie génique imposée sur le marché avec une AMM conditionnelle sur la base de données montrant une efficacité très restreinte.

Je vous accuse de refuser de reconnaitre un an après le début de ce qui a été nommé à dessein une pandémie, que les personnes traitées par des médicaments tels que l'HCQ, l'AZT, l'Ivemerctine, Le Zinc, la vitamine D, meurent moins souvent et font des formes moins graves de la maladie, que ceux qui ne sont pas traités.

Je vous accuse de vacciner à tour de bras sans apporter d'information permettant d'obtenir le consentement libre et éclairé des patients, sans leur dire que le médicament génétique qu'ils reçoivent leur est administré dans le cadre d'une phase 3 de leur mise au point, que les résultats de cette étude leur seront communiqués au mieux en 2022.

Je vous accuse de masquer le fait que ces « vaccins » n'ont ni montré leur efficacité sur les formes graves de Covid, ni sur la transmission du virus, qu'ils n'ont pas été testés sur les plus de 75 ans , ni sur les moins de 16 ans, les femmes enceintes, les immunodéprimés...

Je vous accuse de ne jamais évoquer les centaines de pathologies graves et les centaines de décès dont des morts subites! relatés dans les documents de suivi de pharmacovigilance des vaccins, rapports publiés régulièrement sur le site de l'ANSM en France et des autorités de surveillance internationales.

Je vous accuse de ne pas exiger que des autopsies soient systématiquement réalisées pour rechercher les causes réelles des décès recensés sur les personnes vaccinées.

Je vous accuse d'avancer à marche forcée et sans aucun contrôle démocratique vers une société de maîtrise totale des libertés associée à un passeport vaccinal obligatoire, parfois masqué derrière des formes plus soft, plus politiquement acceptables.

Je vous accuse de promouvoir une société discriminatoire sur la base d'études scientifiques frauduleuses (Lancet gate de juillet 2020) et le plus souvent conduites sous l'influence financière des grandes entreprises pharmaceutiques.

Je vous accuse d'avoir promu, vendu, acheté, distribué, administré, des médicaments inutiles et chers, dangereux et mutagènes, d'avoir autorisé ces thérapies sans preuve d'efficacité et d'en avoir refusé d'autres moins couteuses contre les preuves publiées dans dans nombreux pays...

Je vous accuse d'avoir masqué les résultats des vastes essais engagés à grand frais en 2020...

Je vous accuse et devrez nous rendre des comptes car votre responsabilité ne pourra plus être esquivée.

 

Son index droit caressait sereinement le bouton. Plus rien ne serait pareil après le clic. Amélie prit le temps d'une belle inspiration et dans un souffle expurgatoire elle cria devant sa webcam comme seule témoin : « mèche courte ! » tout en abaissant le doigt sur un futur explosif.

Abes ; 27 mai 2021, Saint-Front

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