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Planète Nouvelles

15 janvier 2023

Surmortalité en France , données Insee

A partir des données mises à disposition par l'Insee, 

https://www.insee.fr/fr/statistiques/4487988

la comparaison des morts toutes causes confondues par âge donne les graphiques suivants. 

Il s'agit de données brutes qui ne tiennent pas compte du nombre de personnes par classe d'âge.

 Les effectifs sont comparés sur le 24 décembre de chaque année car les données 2022 sont arrêtées à cette date.

 

 

Capture d’écran 2023-01-15 à 20

Capture d’écran 2023-01-15 à 20

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22 décembre 2022

Hausse de la mortalité en Europe depuis 2021

L'année 2022 se termine et les chiffres d'EUROMOMO se précisent...dramatiquement.

 Dans toutes les classes d'âge l'excès de mortalité des 16 trimestres avant 2021 (COVID sans vaccin en 2020) est désormais inférieur à l'excès de mortalité des 8 trimestres depuis 2021 (COVID avec vaccination généralisée des populations) 

16 trimestres dont 4 durant les premières périodes de l'épidémie (printemps et automne 2020) contre 8 trimestres avec des vaccins "SÛRS ET EFFICACES"

Que se passe-t-il?

Soit les vaccins sont rendus innefficaces par des variants d'un virus de plus en plus mortel; soit les gens vaccinés depuis 2021 sont plus vulnérables que les non vaccinés de 2020 ; soit les vaccins provoquent des effets vraiment indésirables au point d'agir sur cet excès de mortalité...

Ou bien le site Euromomo ne fait plus correctement son travail et ses calculs sont faussés.

Qui le dira?

Capture d’écran 2023-01-19 à 22

 

 

Capture d’écran 2023-01-19 à 22 

Capture d’écran 2023-01-19 à 22

 

 

 

 

 

22 décembre 2022

Hausse de la mortalité en Europe depuis 2021

Capture d’écran 2023-01-12 à 21

Capture d’écran 2023-01-12 à 21

Capture d’écran 2023-01-12 à 21

L'année 2022 se termine et les chiffres d'EUROMOMO se précisent...dramatiquement.

 Dans toutes les classes d'âge l'excès de mortalité des 16 trimestres avant 2021 (COVID sans vaccin en 2020) est désormais inférieur à l'excès de mortalité des 8 trimestres depuis 2021 (COVID avec vaccination généralisée des populations) 

16 trimestres dont 4 durant les premières périodes de l'épidémie (printemps et automne 2020) contre 8 trimestres avec des vaccins "SÛRS ET EFFICACES"

Que se passe-t-il?

Soit les vaccins sont rendus innefficaces par des variants d'un virus de plus en plus mortel; soit les gens vaccinés depuis 2021 sont plus vulnérables que les non vaccinés de 2020 ; soit les vaccins provoquent des effets vraiment indésirables au point d'agir sur cet excès de mortalité...

Ou bien le site Euromomo ne fait plus correctement son travail et ses calculs sont faussés.

Qui le dira?

 

 

 

23 octobre 2022

Surmortalité en Europe depuis 2021

À partir du site Euromomo nous pouvons établir un constat  alarmant  de surmortalité  importante en Europe depuis l'année 2021, notamment dans les classes d'âge qui sont celles dans lesquelles la mortalité est la moins sujette à variation. : de 0 à 74 ans.

 Il est inutile et même il serait fautif d'établir un constat à partir d'une comparaison entre 2 années. 

Par exemple, pour la tranche 0-14 ans , comparer 2022 en bleu clair avec 2020 en gris serait fautif car on montrerait une surmortalité de plus 1000 enfants (nov 22) par rapport à une moyenne attendue, alors que l'année 2019, la plus mortelle avant 2022, ne permet d'établir qu'une surmortalité de 500 entre 2019 et 2022.

 

Capture d’écran 2022-11-26 à 09

 

C'est pourquoi, à partir des graphiques établis sur le site Euromomo, je propose de montrer une lecture de la surmortalité en comparant les données cumulées des années, 2017, 2018, 2019 et 2020 soit 4 années y compris la première année Covid durant laquelle la vaccination n'était pas encore de mise, avec l'année 2021 (début de la vaccination covid) et les 3 premiers trimestres de 2022 (4ème dose et nouveau vaccin bivalent en cours) 

16 trimestres dont 4 pendant les premières "vagues covid" sans vaccination contre 7 trimestres avec le vaccin comme protection des populations.

 

Capture d’écran 2022-11-26 à 09

De 65 à 74 ans, la surmortalité cumulée des 7 derniers trimestres est légèrement supérieure à la surmortalité cumulée des 16 trimestres précédents dont l'année 2020!!

Dans le détail ça donne par tranche d'âge : 

 

 

Capture d’écran 2022-11-26 à 09 

 La mortalité étant naturellement plus élevée dans la dernière tranche d'âge, au de-là de 75 ans, comparer 16 trimestres dont 4 en 2020 à 7 trimestres, est forcément problématique car les effectifs concernés sont les plus importants.

Alors, voici un graphique comparant les 8 trimestres avant 2020 (avant le covid) et les 7 trimestres à partir de la vaccination (2021)

La surmortalité est cette fois largement (le triple) d'une période à l'autre. 

 Si on réintègre l'année 2020 entre ces 2 périodes, on obtient le graphique suivant. 

 

Capture d’écran 2022-11-26 à 09 

Le Covid en 2020 a bien eu un impact important sur la population des plus de 75 ans en 2020.

La surmortalité dans les Ephad et à la maison au printemps et à l'automne 2020 sont à ré-interroger.

Dans quelles conditions ces populations sont-elles décédées?

Souvenons-nous qu'en France le décret Rivotril a fait des ravages dès le mois d'avril, et que par ailleurs, la consigne officielle était de rester à la maison et d'attendre de ne plus pouvoir respirer avant d'appeler le 15,  ce qui n'est pas très raisonnable à cet âge.

La plupart des gens morts à l'hôpital sont décédés dans les 2 à 3 jours après leur arrivée.

S'en sont suivies les douloureuses expériences de prise en charge avec intubation et tout le cirque médiatisé des transferts en avion ou  en TGV, sans parler du Remdésivir en perfusion et pourtant inefficace, voir dangereux, quoique vivement plébiscité par la clique des experts...(sous influence?)

Je laisse à chacun le soin de produire des hypothèses crédibles sur les raisons de cette surmortalité non négligeable.

On ne peut tout de même pas passer à côté du constat d'une concomitance entre la hausse de la surmortalité et la vaccination massive des populations. 

Qu'en pensent les experts?

27 novembre 22, 17h00 

 Abes

 

 

 

 

27 novembre 2021

La « cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui n’a que trop duré 26/11/2021 , par Laurent Toubiana

Message publié sur le site QG Média

https://qg.media/2021/11/26/la-cinquieme-vague-nouvel-episode-dun-feuilleton-qui-na-que-trop-dure/

 

Par Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’Institut de Recherche pour la Valorisation des données de Santé (IRSAN)

Cet article constitue l’épisode 68 de l’enquête de Laurent Mucchielli sur la gestion politico-sanitaire de la crise. Publié le 25 novembre 2021 sur le blog du chercheur, il a été dépublié par Mediapart le lendemain. L’équipe de QG a décidé de l’accueillir ce soir

Le scénario est maintenant bien rodé. En amont, il commence par des avis de scientifiques qui, alors que tout est supposé « sous contrôle », annoncent la possibilité du retour d’une nouvelle vague épidémique. Ces oracles sont bientôt confirmés par des données venant de pays plus ou moins lointains ; tout va bien en France, mais ailleurs c’est très grave. Les hypothèses de nos scientifiques s’avèreraient donc exactes. Les articles de presse pleuvent sur la panique engendrée dans ces pays et les mesures très dures en passe d’être mises en œuvre. Ces mesures nous paraissent démesurées, mais une petite voix nous dit qu’il faut se préparer à ce que ce soit bientôt notre tour. Enfin, Santé Publique France donne l’estocade et annonce à son tour une élévation « inquiétante de l’incidence », sans vraiment expliquer ni de quoi il s’agit exactement, ni en quoi elle est inquiétante. Cette information est immédiatement relayée par de puissants organes médiatiques. Elle est ensuite reprise par les autorités qui remettent en place des mesures contraignantes (masque obligatoire dans toutes les écoles et dans la rue de départements de plus en plus nombreux). « En même temps », le porte-parole du gouvernement nous assure de ne pas nous inquiéter. Cela inquiète encore plus car, à chaque fois qu’il ne faut pas s’inquiéter, nous pouvons être sûrs du contraire ; cela est en général confirmé quelques jours plus tard. Le nombre d’articles publiés sur la prochaine vague augmente et prépare le terrain. « Quelques dissidents » sont invités à s’exprimer pour faire bonne mesure car nous sommes en démocratie, juste le temps de les décrédibiliser incompétents, naïfs, inconscients, irresponsables, dangereux, complotistes.

Depuis toujours, une épidémie se caractérise essentiellement par le nombre de malades et de morts qu’elle provoque. Ainsi, ce que l’on appelle normalement « incidence » est le nombre de nouveaux malades en une semaine rapporté à la population, lequel permet d’évaluer la dynamique d’une épidémie de maladie transmissible à évolution rapide. L’arrivée des tests et la massification de leur utilisation dévoyée à partir d’août 2020 a permis de redéfinir l’essence même de la définition classique de l’épidémie. Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, les estimations de l’incidence à destination du grand public ne se réfèrent plus aux nouveaux malades ou morts engendrés par le virus mais à des porteurs de virus qui, à plus de 80 %, ne sont pas malades et ne le seront jamais. De fait, le nombre de porteurs de virus est beaucoup plus important que le nombre de malades ou de morts. Il est donc fallacieux d’utiliser le même mot « incidence » pour représenter une réalité différente de la définition communément admise par les épidémiologistes, l’incidence d’une pathologie.

Pourtant, l’incidence d’une pathologie est un outil élémentaire utilisé pour le suivi de toutes les épidémies sous surveillance depuis des dizaines d’années (dont la plus emblématique est celle des syndromes grippaux). Pourquoi n’est-il pas appliqué pour l’événement épidémique du siècle ? Probablement parce que les incidences de la maladie covid-19 (et non des tests positifs) sont tellement faibles qu’elles ne peuvent être décemment invoquées pour justifier les mesures de contrôle qui apparaîtraient à l’évidence disproportionnées : confinements généralisés de la population, port du masque obligatoire dans la rue, taux de couverture vaccinale aberrant, passe sanitaire. Si l’incidence « classique » était utilisée, les populations n’auraient plus peur et n’accepteraient pas ces mesures considérées dès lors comme extravagantes. 

Note de lecture : la courbe rouge montre l’évolution hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 selon le Réseau Sentinelles (échelle à droite en rouge de 0 à 120). En mars 2020, cette courbe montre un maximum avec 140 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants. Lors du 4ème « pic » de cette courbe (début août 2021), l’incidence est de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants. La courbe noire montre l’évolution du nombre hebdomadaire de décès testés positifs au Covid-19 pour 100 000 habitants source Santé Publique France (échelle à droite en noir de 0 à 10). Le point maximum est au début de la courbe avec 9,7 décès en une semaine pour 100 000 habitants début avril 2020.

Justement, quelles sont les valeurs de l’incidence du Covid-19 ? En France, sur les 90 semaines depuis le commencement de la crise du Covid-19, la plus forte incidence a été observée entre le 23 et le 29 mars 2020, au tout début de la crise (cf. fig. 1). Lors de cette semaine paroxysmique, 140 nouveaux malades pour 100 000 habitants ont été estimés par le Réseau Sentinelles (premier réseau de surveillance de maladies transmissibles en France) ; les autres sources de médecins généralistes de terrain, dits de premier recours, sont concordantes. Pour fixer les idées, 100 000 habitants, c’est environ la population d’une préfecture importante (Caen, Nancy, Avignon…). À titre de comparaison, le même réseau de médecins estimait dans les mêmes conditions à plus de 600 malades de syndromes grippaux en une semaine pour 100 000 habitants en moyenne lors des pics épidémiques des années antérieures depuis 20 ans. Pourtant, connues depuis des siècles, les épidémies de grippe ont toujours été désignées comme des épidémies « banales » alors que le tableau clinique de la grippe est considéré comme touchant les individus plus durement que celui du Covid-19 dans la plupart des cas. Depuis mars 2020, aucune autre semaine n’a montré une incidence du Covid-19 supérieure. L’amplitude des pics saisonniers de l’incidence du Covid-19, fin octobre 2020, fin mars 2021 correspondant à ce qui a été improprement appelé « vagues » n’a cessé de décroître. Pour la dernière, dite 4ème vague, début août 2021, l’incidence du Covid-19 a atteint le chiffre dérisoire de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100.000 habitants (cf. fig. 1).

Il en va de même pour les hospitalisations et les décès. 31 nouvelles personnes avaient été hospitalisées et 9 sont décédées pour 100.000 habitants au cours de la semaine la plus impactée en 1 an et demi de crise.

Ces chiffres sont à peine crédibles tellement ils sont faibles. Toutefois ils sont cohérents avec ceux qui ont été publiés par l’ATIH et qui indiquent que seulement 2 % de l’activité des hôpitaux ont été consacrés au Covid-19en 2020.Par ailleurs, nous avons montré ici même dès le mois de mars 2021 que cette période de crise sanitaire prétendue « majeure » n’avait provoqué aucune surmortalité pour les personnes âgées de moins de 65 ans, soit 80 % de la population française, et une surmortalité de moins de 4 % pour les autres.

De nombreux articles scientifiques ont montré que, sans pouvoir limiter l’épidémie, les mesures prises ont eu de nombreux effets délétères directs et indirects sur les individus et les populations. Ceux-ci ne font que commencer, comme la dégradation de l’état psychique, notamment chez les jeunes, la baisse du niveau scolaire ainsi que les conséquences sur la santé de la dégradation économique du pays suite à la politique du « quoi qu’il en coûte » décidée pour mettre en place le premier confinement et que les Français subissent du fait de l’augmentation de la facture énergétique. Quant au taux de couverture vaccinale aberrant avoisinant les 90 % de la population des plus de 12 ans, les autorités l’ont imposé aux populations en usant de méthodes d’intimidation ou de culpabilisation au motif de les protéger collectivement. Nous venons de montrer que l’impact réel en termes de morbidité et mortalité est extrêmement faible mais cela ne suffit toujours pas, ces populations ayant déjà beaucoup souffert des mesures censées les protéger, doivent encore endurer un nouvel épisode de ce feuilleton insupportable.

Tous les chiffres cités sont disponibles pour le grand public, accessibles sur Internet. Ils crèvent les yeux mais décidément, ils semblent difficiles à voir.

Laurent Toubiana

L’auteur est chercheur à l’INSERM, directeur de l’Institut de Recherche pour la Valorisation des données de Santé (IRSAN)

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22 juillet 2021

50 lignes de Covid.

50 lignes de Covid.

 

Chers compatriotes, ma voisine de palier,

 

je m'autorise 50 lignes pour t'expliquer ce qui se passe sur ta planète.

50 lignes car quand j'écris 25 pages, personne ne prend le temps de les lire.

50 lignes tout de même car 143 signes c'est indécent pour exprimer plus d'une demi-idée.

Alors soit t'es capable de lire 50 lignes sans agonir, soit tu retournes sur ton réseau préféré.

Voilà l'affaire: Il y a 20 mois, un virus de chauve souris manipulé (il faut dire « gain de fonction ») s'échappe d'un labo chinois. Au passage tu te souviens que les Américains sont impliqués dans le financement de ce « gain de fonction », Fauci himself a trempé dans l'histoire.

Le virus, s'emballe et quitte la Chine à la conquête du monde. Il mute, même si nos médecins de plateau télé refusent longtemps d'y croire. Il passe par la case des élevages de visons pour mieux reprendre de la vigueur et désormais s'annonce en alphabet grec.

En 1 an de surfing de vague en vague (une belle expression de nos médias avides de suspens, ou de prophétie autoréalisatrice), il tue pas mal de personnes âgées, de personnes obèses et quelques autres malchanceux commorbides.

Les systèmes hospitaliers, rongés à l'os par des décennies de politiques d'austérité, suffoquent et peinent à assurer leurs missions.

Ajoutez, pour la France en tout cas, un gouvernement et un ministre médecin qui interdit la prise en charge précoce, qui laisse les gens s'étouffer à domicile sous paracétamol, qui déconseille les antibiotiques pour mieux les conseiller un an après, qui interdit des antiviraux qui pourtant se montrent efficaces à plus de 70%, qui autorise le Rivotril dans les Epadh (hausse spectaculaire de l'administration de ce sédatif puissant), qui dit tout et son contraire à longueur de communiqués.

Au bilan : la mortalité (nombre de morts d'une classe d'âge / nombre de vivants) de 2020 au niveau de 2017 et donc plus faible qu'en 2015 et une moyenne d'âge des décès située à plus de 80 ans...au niveau de l'espérance de vie.

https://www.youtube.com/channel/UCX6iYvJWGOQfGsFo2KSSm-w

On en reparlera plus tard mais il faudra bien prendre en compte la pyramide des âges pour comprendre les morts à venir. Deux données pour approcher cette question : En 1945, 591000 naissances. En 1946 on passe à 866000 ! De 40 à 44, 3.2 millions de naissances. De 45 à 49, on atteint à 4.1 millions. Alors que d'une année sur l'autre le nombre de morts  prenne entre 50 et 100 mille, rien d'extraordinaire, il faut s'y préparer...et sûrement pas en rongeant le reste du  système de santé.

Printemps 2020, le président Jupi-terrien déclare la guerre au virus, interdit les déplacements, bloque l'économie du pays, ment sur les masques puis masque les voies ORL et les constestations…puis achète à l’automne du Remdésivir inutile et toxique

Puis le ministre affirme en 2021 qu'on peut à nouveau utiliser les antibiotiques, que les vaccins ne protégent pas complètement, que les jeunes n'en ont pas besoin pour eux-mêmes...mais pourquoi alors ?

Ah, j'oubliais : l'immunité collective ! Un nombre bricolé entre 70% et 90% sur des considérations techniques d'un autre temps, sans base scientifique concrête, mais chanté sur tous les tons. Immunité collective : méthode Coué.

Doublement vacciné vous pouvez encore chopper et transmettre le Covid surtout les mutants qui se gaussent bien du vaccin basé sur la souche d'origine. Mais quand tout le monde sera vacciné, le virus cessera de circuler, on vous l'assure ...puisqu'on y croit. Quel drôle de raisonnement absurde. Seychelles (100%) , Israël, Grande Bretagne, quasi tous vaccinés et ça repart comme en 19.

Enfin, été 2021, ils suent sang et eau pour vendre des vaccins expérimentaux, toujours en phase de développement selon leurs propres fabricants.

Au passage, il est intéressant de noter que ces labos, à la solde des gestionnaires d'actifs (Blackrock, Vanguard et Cie) ont été exonéré de toute responsabilité en cas d'effets secondaires...et réalisent des dizaines de milliards de bénéfices en quelques mois. (Mais ça n'a pas de rapport non?)

Les fameux effets secondaires ! 100 fois plus de problèmes qu'avec des vaccins classiques. 100 fois plus mais circulez il n'y a rien à voir, il faut toujours y croire.

L'ANSM débordée par les milliers d'effets graves et notamment le nombre de décès suivant l'injection (mais sans liens démontrables évidement!!) peinent de plus en plus à établir des rapports complets. En tout cas les conclusions sont invariables. On ne peut rien démontrer!

C'est pourtant intéressant de savoir que pour le seul vaccin Pfizer, l'ANSM recense 761 décès fin juin, non ?

Bien sûr il était  plus jouissif en avril 2020, de décompter les morts quotidiens du Covid, comme si c'était seulement possible en temps réel!

Et on y a cru, on a pleuré, le soir, on a applaudi les soignants protégés de sacs poubelles. On a bien aimé aussi les transferts en TGV, les sorties de coma dans un pays voisin, les apéros visio, les périmètres de sortie, les heures pour aller courir- tous en même temps sur les mêmes trottoirs...

 

Juillet 2021, le grand mensonge, le mensonge d'État, du chef de l'État.

La dictature sanitaire, mais est-elle vraiment sanitaire ?, pour forcer la main de la moitié du peuple qui refuse toujours de jouer aux cobayes pour les labos, pour les gestionnaires de patrimoine et pour le plaisir sadique et pervers des petits chefs plus ou moins élus qui leur sont redevables et soumis.

Ils ont menti en affirmant qu'il n'y a aucun traitement efficace quand le Monde entier prouve le contraire. Des centaines de publications scientifiques le prouvent, elles ont le tort de ne pas être réalisées par des pays riches.

HCQ for COVID-19: real-time analysis of all 317 studies

HCQ for COVID-19: real-time analysis of all 317 studies

https://c19hcq.com


https://c19hcq.com/

Ils mentent en affirmant que l'AMM conditionnelle des vaccins ne signifie pas qu'ils sont en phase expérimentale alors que les labos ne cessent d'avouer que les résultats seront connus et publiés qu'en 2022-2023-2024.

Ils mentent en ne reconnaissant pas que les vaccins thérapie génique ne causent pas plus d'effets secondaires que les autres.

Ils mentent en comparant le risque Covid aux risques couverts par les vaccins obligatoires.

Entre un Covid et un Tétanos le risque de mort est sans commune mesure, incomparable, mais ils comparent.

Mais pourquoi un tel mensonge planétarisé ? Attention c'est le moment de sortir l'insulte à la mode : Ouh le vilain complotiste !!

Pourquoi ? Peut-être parce que la poule aux œufs d'or en 2020 c'est l'industrie pharmaceutique. Les milliards coulent à flot...mais ne ruissellent pas.

Et cette poule magique est détenue par les fonds pension, les gestionnaires...ceux à qui le jeune loup Macron a fait réaliser des opérations financières mirobolantes (en dizaine de milliards) quand il rayait le parquet de Rostchild en co.

 

Tu vois plus clair maintenant ?

 

J'oubliais un détail, pour réussir ce tour de force, la propagande n'a pu réussir qu'en soumettant l'ensemble de la presse à un traitement jamais infligé dans toute notre histoire, sauf en 40.

Les principaux médias, AFP en tête, en sont réduit à être la chambre d'écho et de désinformation à la faveur de la fable officielle. Et chacun y va de sa cellule de désintox de fact-checker, pas toujours très compétents mais qui leur demande leurs diplômes de médecine ?

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/150721/la-crise-sanitaire-revele-l-inquietant-declin-du-journalisme

D'ailleurs, les mêmes, lorsqu'ils invitent en boucle de vrais médecins, ne leur demandent jamais de déclarer leurs liens d'intérêts. C'est obligatoire mais toute vérité n'est pas bonne à dire.


Et le plus triste pour terminer, c'est que la seule opposition un peu audible est souvent à l'extrême droite des partis ; pire encore, la sphère syndicale joue le jeu dangereux de réclamer la marche forcée vers une vaccination de masse, sans aucune conscience de l'immense risque qu'il y a à bafouer le consentement et à contraindre les enfants qui n'ont pourtant aucun risque donc aucun bénéfice à en tirer.

Les syndicats, dans leur grande majorité, sont tombés dans le piège machiavelique du Prince marionnette.

 

Réveillez-vous maintenant, avant qu'il ne soit trop tard !!

Il est trop tard !

 

Abes

 

 

 

 

29 mai 2021

Code QR

Code QR

Temps de lecture: 20/30 minutes.

 

 

 

 

 

 

 

« Désolé madame , ça ne va pas être possible. Votre dossier médical n'est pas à jour. »

Amélie Révolté, échevelée par sa poursuite à bicyclette du convoi funéraire, venait de se faire refuser l'accès au cimetière où sa grand-mère allait être inhumée.

Le vigile, d'allure mastoque et un tantinet benêt qui lui barrait l'accès, tenait comme une arme de poing le lecteur de code QR, nouveau sésame de nos vies artificielles.

« dossier médical incomplet »

Sur l'écran s'affichait cette fumeuse sentence : « dossier médical incomplet » .

Amélie n'en revenait pas.

Sa grand mêre adorée, celle qui lui avait appris le scrabble, la cuisine à l'huile d'olive et le goût des fruits du jardin, sa « chère petite mamie » serait portée en terre sans qu'elle puisse assister à la cérémonie, sans qu'elle pose un regard, un baiser, une main ou un bouquet de roses blanches sur son cercueil de bois clair.

Et tout ça parce qu'un lecteur de code QR en plastique noir et chinois, brandit par un écervelé aussi mou que patibulaire, lui interdisait l'accès au cimetière nord de la ville.

Pas croyable comme l'intelligence artificielle alliée à la bêtise sur-naturelle pouvait produire la pire des barbaries.

 Affolée, honteuse, désemparée, rouge de colère retenue, Amélie cherchait autour d'elle le secours, d'un regard, d'une parole, d'une explication.

C'est alors qu'elle aperçut près d'un banc, un trio de femmes qu'elle avait souvent vues chez Chantal, sa grand-mère, à l'heure du thé et des jeux de lettres.

Pourquoi n'étaient-elle pas déjà à l'intérieur du cimetière ?

Comme elle s'approchait du trio, l'une des femmes reconnut Amélie, surprise de la voir en larmes accrochée à son clou d'où le bouquet de roses blanches commençait à flancher tristement.

 

Elle apprit rapidement que l'une des trois amies ayant oublié son portable, elle non plus ne pouvait pas justifier, via son QRC, de son bon état sanitaire.

Toutes trois avaient plus de 75 ans. Toutes avaient leur dossier médical à jour, mais sans la preuve par QR, l'entrée leur était également interdite.

Cerbère veillait au code.

Amélie leur confia son désarroi, elles ne surent que la calmer en lui assurant qu'elles reviendraient avec elle plus tard, de nuit s'il le fallait, quand le chien de garde serait parti.

Les larmes plein les joues, serrant dans sa poche à en extraire les mots le texte qu'elle comptait lire comme oraison, Amélie enfourcha sa bécane et vint se planter devant le mulet pour lui lancer au museau une bordée d'injures et de venin.

Impassible, sans émotion, il détourna le regard d'indifférence et s'abstint de faire des phrases, ça n'était pas son truc.

Plusieurs mois auparavant, le gouvernement avait après moultes cafouillages, réussi à imposer une application sensée améliorer à la fois la vie, la santé, la sécurité...le bonheur ? d'un peuple qu'il était en quelques semaines seulement, parvenu à effrayer au plus haut niveau.

Malgré un démarrage difficile mais gràce à une propagande largement relayée par la médiasphère avide de reconnaissance de l'État ou de ses actionnaires, la fameuse application était devenue le meilleur outil de contrôle social soit-disant au service d'une épidémie dont tout le monde finissait par avoir une trouille noire.

 

Amélie resterait privée de la cérémonie d'adieux à sa grand-mère adorée car son dossier médical était incomplet.

Derrrière cette formule anodine, elle savait bien qu'elle subissait la punition pour son refus de se soumettre à une vaccination « facultative » contre cette maladie nouvelle, la même qui avait eu raison des faibles poumons de Chantal.

Chantal à 87 ans, avait survécu à plusieurs pneumonies dont elle était sortie chaque fois un peu plus affaiblie. Alors que la maladie faisait des ravages parmi les octogénaires, elle avait été la première de son quartier à bénéficier de cette vaccination expérimentale, seule solution selon les autorités, selon les propagandistes, selon les citoyens épuisés et perdus par plus de 10 mois de contraintes physiques, psychiques, économiques, désocialisantes et déshumanisantes.

Seule solution contre la propagation du virus, mais aussi contre l'évidence. L'évidence du succès dévoilé dans des centaines d'études, d'essais et d'observations cliniques qui montraient que plusieurs protocoles de soins préventifs et de prises en charges précoces permettaient de limiter drastiquement l'évolution vers des formes graves et létales de cette maladie.

Chantal ne le savait pas et avait choisi très tôt la solution vaccinale par l'une des thérapies géniques développée à la hâte, en quelque mois seulement et bénéficiant sur la base de bien faibles résultats d'une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.

 

En effet, derrière la bataille des chiffres crachotés dix fois par jour par les médias et leurs experts ...en corruption masquée... se cachait une toute autre réalité.

Vaccinée, rassurée, libérée des contraintes distancielles qui lui minaient désormais le moral, Chantal commençait à recevoir plus souvent ses proches, ses amis. Elle sortait chaque jour plusieurs heures, prétextant un achat indispensable, un rendez-vous incontournable, un service à rendre, une visite importante.

Pourtant, le matin du 12 avril, 8 jours après sa seconde injection, le thé à l'orange avait perdu son goût, le parfum du lait de toilette ne lui parvenait plus.

Sachant que ces symptômes étaient souvent révélateurs de la maladie, oubliant même qu'elle était protégée par 2 injections, la première reçue 2 mois plus tôt, elle appela le secrétariat du docteur T, dès 8h30. La secrétaire la rassura, lui rappelant qu'elle était « vaccinée et ne risquait plus rien » ; elle ajouta que le docteur la rapellerait dès que possible.

C'est seulement le surlendemain qu'il rappela la vieille dame pour une consultation téléphonique éclair. Contre la fièvre, il lui prescrit le fameux paracétamol, qui de l'avis de tous les experts ayant l'oreille du ministère, était le seul remède utile. Il ajouta qu'elle devait éviter de sortir et de recevoir, qu'il passerait la voir en fin de semaine, qu'il était inutile de faire un test puisque le vaccin la protégeait.

 

À demi rassurée, la vieille dame se recoucha quelques heures, le temps que le cachet agisse sur sa légère fièvre. À son réveil, elle fit le tour la maison pour ouvrir à moitié tous les volets, puis le tour des placards, du cellier et de la pharmacie pour recenser l'état des stocks de nourriture et de médecine.

Elle était du genre qui se souvenait de la guerre, Chantal. Les réserves avérées permettaient la tenue d'un siège de 5 semaines, pas de quoi paniquer.

C'est donc dans une longue période d'un somnolent enfermement qu'elle couva fébrilement

la maladie.

Malgré la persistance de la perte du goût et de l'odorat, elle se persuada que ça ne pouvait-être La Maladie, puisqu'elle était protégée. Le médecin le lui confirma lors de sa visite du vendredi. Tout de même, il ajouta un sirop contre la toux qui commençait à faire du vilain dans sa trachée. La factrice lui livra le remède seulement le lundi, alors que les quintes se multipliaient et duraient de longues et épuisantes minutes.

Cela faisait une semaine que Chantal ne sentait plus la camomille et le jasmin de ses bougies préférées.

La toux s'était calmée. Sur les conseils du doc, elle buvait beaucoup d'eau sans y prendre goût, elle ne s'exposait pas aux courant d'air non plus.

La gêne respiratoire s'accentuait de jour en jour, ses jambes ne la portaient jamais plus loin que d'une pièce à l'autre, d'un fauteuil de velours à une chaise en paille.

Le matin du quinzième jour, c'est Amélie qui la trouva à demi-morte, engoncée dans ses draps, sous l'édredon qu'elle avait ressorti pour lutter contre ce gel qui lui glaçait les os. Elle claquait des dents, respirant faiblement, péniblement.

Quand le Samu la prit en charge, c'est à dire après le 3 ème appel de sa petite fille, Chantal était plus pâle que ses draps, elle ne tenait ni debout ni assise.

Les yeux mi-clos, elle parlait par monosyllabes.

Le pouls était à 45 et l'oxymètre indiquait en continu une saturation à 90%. Elle s'asphyxiait tranquillement derrière les persiennes fermées de sa maison pointue, modèle 1934, son année de naissance.

 

Le matin de ses obsèques, le chroniqueur radiophonique le plus entendu du pays, ne tarissait d'éloges sur les bienfaits de cette modernité permettant d'un seul flash de consulter vos données personnelles ; celles attestant de votre état sanitaire, du niveau de sécurité que vous avez atteint. Ce perroquet médiatique, comme ses collègues faisant la retape pour des vaccins miracles, déversait convaincu, depuis plus d'un an déjà , des avis autorisés, appuyés sur une science officielle jamais remise en question.

Et gare à tous ceux qui s'avisaient à émettre le moindre doute, la plus prudente hésitation ; on les affligeait aussitôt de cette nouvelle étoile jaune du déshonneur, de « vilains complotistes » !

Amélie Révolté, de rage, de colère et d'une force puisée au tréfond de son intime puissance de vie, enfoucha sa bécane pour s'élancer à la recherche d'un passage, d'une faille, d'un moyen de franchir le mur carcéral du cimétière.

Il y avait bien deux autres portes, l'une à l'Ouest, l'autre à l'Est, mais elle constata vite qu'une caméra de surveillance les surmontait. Elle se souvint alors avoir aperçu des écrans de contrôle dans la guérite du molosse gardant la porte principale.

Quant au mur, haut de plus de 4 m, il lui paraissait infranchissable.

Le tour rapide du cimetière la ramena naturellement au petit banc où les 3 amies désemparées se tenaient toujours assises, attendant la sortie du cortège pour tenter de s'y infiltrer à rebours.

La jeune femme leur proposa alors le coup de la diversion. Si l'une d'elles feignait le malaise et venait à chuter juste devant son mirador, il serait bien obligé de lui porter assistance puis d'appeler les secours. Amélie en profiterait pour se faufiler à l'intérieur et rejoindre la cérémonie qu'un dictact idiot et méchant lui interdisait de suivre.

La malice au coin des yeux les 3 femmes quittèrent leur position en bavardant. Au bout de vingt pas, presque sur les pompes du funèbre vigile, Marie-Claire s'effondra brusquement, les yeux révulsés, les pattes tordues, un filet de bave aux commissures.

Son passé de comédienne amatrice lui permit de simuler l'attaque cardiaque à merveille. Cerbère en eût la tronche toute retournée. C'est penaud, les bras balants, qu'il déposa un genou en terre pour se pencher sur la faible respiration de la tragédienne à l'agonie.

Son auscultation désordonnée laissa bien le temps nécessaire à Amélie pour se faufiler en loucedé dans les contre-allées du boulevard des allongés.

Dix jours seulement après cet épisode de l'absurde, tout était prêt.

Amélie n'avait plus qu'à abaisser l'index sur le bouton gauche du mulot périphérique pour envoyer à la face du monde connecté ce qu'elle avait intitulé le « nouveau j'accuse ».

Il lui avait fallu 10 jours pour lire, écouter et synthétiser en une seule page tapuscrite toute l'absurdité, et l'inconséquence d'un pouvoir politique corrompu, dont la seule boussole n'indiquait plus que le Nord Kapitalistique.

 

L'index fébrile de la jeune femme tendue caressait inquisiteur le bouton lisse et plastique de la souris connectée.

Elle savait que le déclic serait à l'origine ou d'un flop, vent de mépris ne donnant lieu à aucun commentaire, ou bien d'une tempête médiatico-politique qui l'entrainerait sans ménagement dans un tourbillon judiciaire d'où elle ne ressortirait pas indemne.

Au bout de l'index, elle sentait vibrer la multitude tumulteuse des rézosocios qu'elle avait alignés dans la case destinataires.

Sous la pulpe sensible, l'ensemble des partis politiques français et européens, l'ensemble des parlementaires de Paris et Bruxelles, tous les syndicats, tous les médias nationaux, la PQR et la plupart des médias en ligne. D'un clic elle toucherait également toutes les institutions médicales, les CHU, les sociétés savantes, les journaux médicaux, les centres de recherche, les universités de sciences dures, de sciences humaines, de droit , d'économie, de politique, les grandes écoles, les écoles vétérinaires, tous les laboratoires de recherche...tous les ministères...

D'un seul geste, elle informerait aussi les associations d'intérêt général, les principales fondations, les associations de parents d'élèves, les syndicats ouvriers et patronaux...

d'un souffle elle lancerait son accusation à la face du monde, aux éditeurs, aux chroniqueurs, aux avocats, aux savants et aux ignorants.

 

Des dizaines de milliers de morts en trop. Encore des dizaines de milliers à sauver, et l'honneur de l'humanité toute entière à sortir des mâchoires dorées de l'argent roi.

Lorsqu'elle eût quitté le cimetière après un dernier hommage à sa grand-mère, Amélie était rentrée directement chez-elle et n'en était plus ressortie que pour de furtifs ravitaillements à l'épicerie-bar du coin de la place Émile Zola.

De 15 à 20 heures par jour, elle explorait tous le sites internet que la médiasphère mainstrean étiquettait consciencieusement de complotiste.

C'était vraiment le mot le plus in-signifiant de l'instant. Le moinde doute sur l'utilité, la pertinence ou la cohérence des mesures sociales, des restrictions massives de liberté, des prescriptions minimalistes officielles, la plus petite remise en question de la science adoubée, suffisait à classer n'importe qui du côté obscur de la farce.

Gare à celui qui s'avisait à annoncer que l'Ivermectine ou l'Hydroxychloroquine soignaient les malades et diminuaient les risques de mortalité : complotistes et charlatans !, par-delà leur CV longs comme le bras.

Sus aux renégats qui trouvaient que la vaccination massive avec des produits expérimentaux -ne bénéficiant que d'une autorisation de mise sur le marché conditionnelle- était abusivement promue et vantée ; complotistes et affabulateurs !

Mort à ceux qui comparaient le nombre considérable d'effets indésirables graves, parmi lesquels des centaines de morts inexpliquées, causés par les vaccins ; complotistes et menteurs !

Honte à ceux qui en dépit de leurs compétences médicales et de leurs parcours pavé d'honneurs osaient afficher une vérité alternative à celle du pouvoir ; complotistes et gâteux !

Durant ces dix jours d'exploration, Amélie avait lu tous les blogs, tous les entretiens, les rapports et les synthèses qui tissaient un réseau serré de preuves issues de tous les continents, concernant l'intérêt et l'efficacité de la prise en charge précoce des patients Covid. Elle avait pris connaissance des collectifs de soignants qui se regroupaient par centaines désormais, pour demander la liberté de prescrire, qui agissaient en justice contre des décisions politiques prises en toute illégalité par des autorités sanitaires à la botte de BigPharma.

Un site d'information en particulier était devenu le principal relais de cette résistance, renouant avec son origine née de la résistance à l'état fasciste incarné par le bon maréchal Pétain.

À lui seul, ce journal en ligne collectait une énorme part des analyses dissonantes, ce qui lui valait d'être qualifié de « blog complotiste » par les baveux bien-pensants, financés eux, par les milliardaires du pays.

Amélie trouvait chaque jour plus d'éléments pour éclairer la mort inexplicable de sa grand-mère.

Elle savait maintenant que la vaccination ne démontrait qu'une efficacité relative, loin, très loin des 95% vantés à longueur de flash info.

Elle savait que les vaccins avaient été mis sur le marché sans montrer de résultats probants sur la mortalité, ni sur la réduction des formes graves ; qu'ils n'avaient pas été testéssur les plus de 75 ans, ni les moins de 16 ans ou les immunodéprimés ; et aussi qu'ils étaient en phase 3 d'un essai grandeur nature dont les résultats ne seraient connus qu'en 2022 et 2023.

L'humanité vivait un GN pour de vrai !

Elle savait que la semaine suivant l'injection les risques de contracter la maladie étaient accrus.

Elle savait que la consigne officielle de rester à la maison avec du paracétamol était parfois criminelle. Elle savait que l'hypoxie heureuse portait bien son nom et cachait une tueuse impitoyable.

Elle savait tout cela et en voulait à la Terre entière de savoir et de se taire, de savoir et de faire taire.

Elle savait surtout que ne pas reconnaître les traitements précoces par des molécules anciennes repositionnées était la condition nécessaire à l'autorisation conditionnelle des vaccins.

Big Pharma allait gagner. La corruption serait la plus forte si personne ne s'interposait.

D'un clic, elle allumerait la mèche. Mèche courte ça va sans dire.

 

 

Le Nouveau J'acccuse

 

« Il est grand temps d'arrêter les pétitions, d'arrêter de lancer des appels dans le vide intersidéral des neurones de nos dirigeants sous emprise totale des firmes multinationales. Il est temps, mais peut-être un peu tard, de mettre un coup d'arrêt à la dictature en marche qui s'annonce d'un noir d'encre si nous ne relevons pas le poing.

Il est temps d'écrire un nouveau "J'accuse".

On peut toujours poser des questions sans être inculpé pour diffamation...mais devant l'accumulation de preuves nous devons passer à l'accusation.

Alors j'allume la première mèche, tous aux abris !

J'accuse, les présidents, les chanceliers, les premiers ministres, les rois et les reines, les dictateurs et les pseudo-démocrates, l'EMA, l'ANSM, le HSCP, les ministres de la Santé, les dirigeants des industries pharmaceutiques impliquées dans la vaccination, les revues scientifiques dites "prestigieuses", les autorités sanitaires des pays les plus riches, les médecins et les professeurs de médecine corrompus, les élus de la nation, la plupart des journalistes et des entreprises de média audio, papier et télé...

J'accuse l'ignorance volontaire des soignants, les faiseurs de peur, les manipulateurs de chiffres erronés, l'Inserm, l'Institut Pasteur, le Conseil d'État...

...d'avoir sciemment laissé mourir des milliers de personnes en répétant contre toutes les preuves scientifiques connues et diffusées en temps réél, qu'il n'y avait pas de traitement efficace contre le Covid 19 et que la seule solution était de vacciner toute la population avec une thérapie génique imposée sur le marché avec une AMM conditionnelle sur la base de données montrant une efficacité très restreinte.

Je vous accuse de refuser de reconnaitre un an après le début de ce qui a été nommé à dessein une pandémie, que les personnes traitées par des médicaments tels que l'HCQ, l'AZT, l'Ivemerctine, Le Zinc, la vitamine D, meurent moins souvent et font des formes moins graves de la maladie, que ceux qui ne sont pas traités.

Je vous accuse de vacciner à tour de bras sans apporter d'information permettant d'obtenir le consentement libre et éclairé des patients, sans leur dire que le médicament génétique qu'ils reçoivent leur est administré dans le cadre d'une phase 3 de leur mise au point, que les résultats de cette étude leur seront communiqués au mieux en 2022.

Je vous accuse de masquer le fait que ces « vaccins » n'ont ni montré leur efficacité sur les formes graves de Covid, ni sur la transmission du virus, qu'ils n'ont pas été testés sur les plus de 75 ans , ni sur les moins de 16 ans, les femmes enceintes, les immunodéprimés...

Je vous accuse de ne jamais évoquer les centaines de pathologies graves et les centaines de décès dont des morts subites! relatés dans les documents de suivi de pharmacovigilance des vaccins, rapports publiés régulièrement sur le site de l'ANSM en France et des autorités de surveillance internationales.

Je vous accuse de ne pas exiger que des autopsies soient systématiquement réalisées pour rechercher les causes réelles des décès recensés sur les personnes vaccinées.

Je vous accuse d'avancer à marche forcée et sans aucun contrôle démocratique vers une société de maîtrise totale des libertés associée à un passeport vaccinal obligatoire, parfois masqué derrière des formes plus soft, plus politiquement acceptables.

Je vous accuse de promouvoir une société discriminatoire sur la base d'études scientifiques frauduleuses (Lancet gate de juillet 2020) et le plus souvent conduites sous l'influence financière des grandes entreprises pharmaceutiques.

Je vous accuse d'avoir promu, vendu, acheté, distribué, administré, des médicaments inutiles et chers, dangereux et mutagènes, d'avoir autorisé ces thérapies sans preuve d'efficacité et d'en avoir refusé d'autres moins couteuses contre les preuves publiées dans dans nombreux pays...

Je vous accuse d'avoir masqué les résultats des vastes essais engagés à grand frais en 2020...

Je vous accuse et devrez nous rendre des comptes car votre responsabilité ne pourra plus être esquivée.

 

Son index droit caressait sereinement le bouton. Plus rien ne serait pareil après le clic. Amélie prit le temps d'une belle inspiration et dans un souffle expurgatoire elle cria devant sa webcam comme seule témoin : « mèche courte ! » tout en abaissant le doigt sur un futur explosif.

Abes ; 27 mai 2021, Saint-Front

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